François Cérésa, Service littéraire
Lisez-le et vous verrez, Renard était génial, goupil et teigneux aux entournures, méchant comme un cent de clous, encore pire que Léautaud.
[…] Ce petit livre édité par la judicieuse Valérie Millet, soulignant qu’il « ne suffit pas d’être heureux, mais qu’il faut encore que les autres ne le soient pas », nous fait comprendre que la mauvaise foi, en littérature, c’est parfois plus bonnet blanc que blanc bonnet. Vous pigez ? Non ? Tant pis. Un peu d’art, que diable ! Renard l’a écrit : « Lamartine rêve cinq minutes et écrit une heure. L’art, c’est le contraire. » Vous pigez à présent ?